Les appels dansaient dans l'âtre du château de Camelot, projetant sur les murs en pierre des ombres mouvantes, presque théologiques. La nuit était tombée sur la cour du divinateur Arthur, enveloppant les couloirs d'un silence secret, uniquement troublé par le murmure du vent s'engouffrant dans les meurtrières. Ce soir-là, une visibilité inhabituelle planait dans l’air, un frisson imperceptible qui fit tressaillir les plus superstitieux. Au centre de la importante assemblée, une féminité au regard perçant était assise sur un épais tapis de velours rouge. Son portrait, coude à coude noble et austère, portait les marques d’une pensée que soupçon avaient l'occasion de enfermer. Elle était de renom marqué par le titre de Morgane, mais pour colossalement, elle était notamment l’incarnation vivante de la voyance, celle dont les prédictions pratiquaient frémir aussi bien qu’elles fascinaient. Les chevaliers rassemblés autour de la table ronde l’observaient avec un mélange de inquiétude et de attention. Ils avaient perçu correctement des batailles, fait l'expérience des ennemis redoutables, mais ce que Morgane lisait dans l’avenir dépassait tout ce qu’ils pouvaient surmonter par la banale vitesse de l’épée. Ce soir, le divinateur Arthur lui-même avait demandé son soutien. La guerre menaçait aux limites du gouvernement et il voulait apprendre si la voyance de Morgane pouvait lui révéler l’issue des combats possible. Elle ferma les yeux un instant, comme par exemple pour être à l'écoute de un murmure venu d’ailleurs. Puis, légèrement, elle ouvrit la creux de sa index, révélant une poudre argentée qu’elle laissa s’écouler sur un morceau de parchemin ancien. Aussitôt, les grains formèrent des symboles discordants, et son tête se suspendit. — Le futur du position est suspendu à un cours, murmura-t-elle. La voyance ne ment jamais, et ce que je vois dans ces planètes est un avenir obscur, tissé de trahisons et de mystères. Arthur fronça les sourcils. Il n’aimait pas adopter parler de trahison, encore moins lorsque cela concernait notre empire. — Peux-tu sembler plus précise ? demanda-t-il d’un intonation grave. Morgane plongea son regard dans les besoins. — La voyance ne donne pas très des explications claires, mais une alternative est indéniable : quelqu’un à la cour souhaite ta tort. Un silence pesant s’abattit sur la parure. Chacun sentit l’angoisse dominer sur ses épaules. La voyance n’était pas une souple pureté dans ce land de chevaliers et de magie. C’était une banalité qui s’imposait avec puissance, et Morgane en était l’une des plus redoutables gardiennes. Ainsi ébaucha la inquisition du roi Arthur pour déjouer les fils du futur et ôter les mystères de la voyance qui entouraient son règne.
Les lignes évoquaient une antique clairvoyance, une prédiction oubliée associée au règne d’Arthur. Elles parlaient d’une ombre s’élevant durant l’intérieur du situation, d’une trahison débarquée au sein même de la cour. Un être lié du trône, portant en lui le empreinte du allégorie, devait œuvrer dans l’ombre pour épandre l’ordre reconnu. La voyance annonçait que ce traître ne frapperait pas avec une lame, mais avec la ruse, dissimulant ses justes plans arrière un masque d’allégeance. Les battements de cœur de Morgane s’accélérèrent. Ce que la voyance lui avait montré prenait en dernier lieu significations. Le danger ne venait pas de l’extérieur, mais du cœur même de Camelot. Quelqu’un parmi les chevaliers, ou cependant un mentors du mat, tramait un complot qui échappait encore aux regards ordinaires. Seule la voyance pouvait en accentuer les formes. Un distractions sourd résonna en arrière elle. Morgane tourna doucement la binette, le cÅ“ur suspendu. Un habituel d’air s’engouffra dans la parure, éternisant vaciller l'admiration des torches accrochées aux murs. Quelque étape ou quelqu’un venait de franchir le périmètre. Elle referma naturellement le parchemin et le glissa sous son manteau. La voyance lui avait salué à noyer le poisson ses émotions jusqu’au agréable moment. Dans ce château où le mythe pouvait se munir d' mille têtes, mieux valait ne pas amener les soupçons. Elle se détourna des archives, quittant la parure avec la certitude que le piège se refermait doucement sur Arthur. Lorsqu’elle remonta vers la surface, le naissance s’était déjà levé sur Camelot. Les chevaliers s’entraînaient dans la cour, prenant le abruptement et l’acier dans des éclats métalliques. Arthur observait leurs déplacements depuis les remparts, son regard perdu dans des sensations lointaines. Il ignorait encore que la menace avec lequel la voyance l’avait averti s’étendait déjà sous ses yeux. Morgane, elle, savait que le temps lui était vécu. Les astres ne mentaient jamais, et bientôt, l'avenir qu’elle avait entrevu commencerait à se manifester dans la réalité.